Le wokisme de la gauche, négation des valeurs ancestrales et destruction du sacré
Ce débat ne se limite pas à une simple exposition dans une église. Il illustre un combat bien plus large entre deux visions du monde : d’un côté, les valeurs ancestrales qui ont structuré notre civilisation, de l’autre, le wokisme, cette idéologie moderne qui cherche à déconstruire tout ce qui fait l’essence de nos sociétés.
La religion, en particulier le christianisme, a été le socle moral et spirituel de l’Occident pendant des siècles. C’est sur ses principes que se sont bâties nos lois, nos traditions, nos rapports sociaux, notre respect du sacré. Elle a offert un cadre, une stabilité et une transcendance à des générations entières, en enseignant le respect, l’honneur, la famille, la fidélité et le don de soi.
Le wokisme, lui, fait exactement l’inverse. Il nie les racines, il détruit les repères, il déconstruit tout ce qui nous a précédés au nom d’une vision du monde éphémère et individualiste. Son objectif ? Remplacer les valeurs fondatrices par une pensée mouvante où le sacré n’existe plus, où tout est prétexte à la revendication, où le respect de la tradition devient un crime de pensée.
Ce que nous voyons aujourd’hui avec cette exposition dans une église n’est qu’un exemple parmi tant d’autres. Il s’agit d’imposer une nouvelle norme où même les lieux de culte doivent se soumettre aux injonctions idéologiques du moment. Refuser cela, ce n’est pas être réactionnaire, c’est simplement défendre ce qui fait l’âme d’une société : son histoire, ses racines et le respect de ce qui est plus grand que nous.
Le wokisme veut effacer les frontières entre le sacré et le profane, entre l’histoire et la réécriture militante, entre l’ordre naturel des choses et une déconstruction sans fin. Mais il y aura toujours des croyants et des hommes de traditions pour refuser cette soumission et rappeler que le respect du sacré ne se négocie pas.
Parce qu’une civilisation qui abandonne ses valeurs et sa spiritualité au profit des lubies du moment est une civilisation qui court à sa perte.
La vérité, c’est que le wokisme prétend défendre la démocratie et le respect des sensibilités… mais seulement quand cela l’arrange.
Les croyants, eux, n’ont pas besoin d’adhérer aux lubies du moment pour comprendre une chose simple : une église est un lieu sacré, pas une galerie d’art temporaire.
Alors que le wokisme continue à s’agiter, à tordre la réalité pour imposer son idéologie dans chaque recoin de la société, mais qu’il ne s’étonne pas que des gens se lèvent pour dire non. Parce que contrairement à ses valeurs à géométrie variable, la foi, elle, ne tourne pas au gré du vent.
Pascal Kouppé de Kermartin.